Instant promo ! J’ai commis un livre. Un autre ! Il s’intitule Healthy Food, aux éditions Solar. L’alimentation santé, c’est un peu mon gimmick, depuis mon plus jeune âge. Voici, en toute objectivité, ma liste non exhaustive des 10 bonnes raisons de se procurer Healthy Food.
1. Choper le healthy lifestyle
Ok. Il y a une grande part de nutri dans ce livre. Environ 80 %. Le reste ? C’est aussi une attitude et une vision plus holistique du bien-être. Par exemple, j’aborde le sport (endurance et/ou efforts intenses) et les collations (l’express m’avait d’ailleurs interviewé sur ce sujet il y a quelques semaines), mais aussi les moyens de booster votre pratique à chaque fois. Idem, un chapitre sur le sommeil, en lien direct avec l’immunité, la récupération et la mémoire.
Mais encore ? Un autre chapitre sur le stress et la méditation dite de pleine conscience, puisque la santé passe aussi par là, tout du moins selon l’OMS
2. Décrypter les étiquettes
Les étiquettes, c’est obligatoire. Plein de mentions dessus, parfois utiles, parfois très « target » : les mentions amies et ennemies, les allégations, mais aussi et surtout comment interpréter en un clin d’oeil la liste des ingrédients.
Mais encore ? Le sucre, on le retrouve partout, sauf qu’on ne l’appelle plus ainsi depuis belle lurette (dextrose, sirop de glucose-fructose, de maïs, bla bla bla…). #vigilance
3. L’emporter partout
Une format pratique, compact et peu onéreux. Ok, ça fait trois raisons. Mais comme j’en ai compté au moins 100, autant faire court et concis. Format cahier, à 7 euros 90, franchement, c’est presque donné. Pas besoin de faire une cagnotte commune pour le cadeau d’anniversaire avant l’été !
Mais encore ? Je ne vais pas vous faire un dessin.4. Faire le grand ménage
Dans la cuisine, y’a plein de trucs qui trainent. Nan, pas les piles usagées et les colliers en pâte à sel. Nope. Les trucs « blancs » : farine blanche, pâtes blanches et autres céréales méga-transformées. Tout ça, ben, dans le cadre d’un rééquilibrage healthy, ben, faut tout doucement s’en séparer, hein… Ou sinon, faites de l’habitude l’exception. J’en parle aussi ici (pour mes pâtes, j’ai encore du mal avec la farine complète, mais je n’en mange pas tous les jours !).
Mais encore ? On garde deux trois trucs quand même : épices, sauce tamari, surgelé (sauf si plats transformés)…
5. Comprendre la glycémie
« A long time ago in a galaxy far, far away », il y avait les « sucres lents » et les « sucres rapides ». Mais grâce aux boulots de Crapo, puis Jenkins, et enfin Montignac en France, hop, on a compris que l’indice glycémique était un indicateur bien plus fiable de ce qui se passait réellement dans notre corps lorsqu’on ingérait des glucides (genre, des pâtes, au hasard).
Mais encore ? Je vous apprends à calculer votre charge glycémique. #easy.